Enfin la pluie :)
Levés tôt ce matin (encore décalés), nous partons en direction du sud. On traverse des paysages très variés : tantôt volcanique, tantôt prairies avec chevaux et moutons bien gras pour affronter l’hiver. Arrivée aux chutes de Seljalandsfoss qu’on voit de très loin depuis la route. Une fois garés je convaincs Jen de prendre les capes de pluie : on a bien fait !
Falaises impressionnantes en arrivant : au XVIIe siècle des pirates algériens ont attaqué l’île et quelques rares habitants ont pu se sauver en descendant en rappel le long de ces dernières. La pluie fait son apparition et nous regrettons d’avoir laissé la voiture de l’autre côté de l’océan. Nous rejoignons un musée dédié à l’irruption volcanique de 1973 qui a ravagé une bonne partie de l’île. Au milieu du musée, une maison telle que retrouvée une fois le volcan calmé.
Il pleut à verse mais il faut bien repartir. On longe le champ de lave jusqu’au fort : en fait une mini ruine qui ne vaut pas le détour… C’est assez dingue de s’imaginer que quelques milliers de personnes vivent ici toute l’année ! De retour près du port, on trouve enfin un macareux (oiseau fétiche du coin) pour réconforter Jen qui les guettait sans succès.
Après le ferry retour + une heure de route sous la pluie et dans la nuit (sans éclairage), nous sommes enfin arrivés à Vik dans une sorte d'auberge de jeunesse où les quarantenaires sont acceptés heureusement !
Après quelques km à chercher une rivière à franchir (mon nouveau hobby), nous prenons la direction du port de Landeyjahofn pour embarquer en direction des îles Vestmannaeyjar.
Falaises impressionnantes en arrivant : au XVIIe siècle des pirates algériens ont attaqué l’île et quelques rares habitants ont pu se sauver en descendant en rappel le long de ces dernières. La pluie fait son apparition et nous regrettons d’avoir laissé la voiture de l’autre côté de l’océan. Nous rejoignons un musée dédié à l’irruption volcanique de 1973 qui a ravagé une bonne partie de l’île. Au milieu du musée, une maison telle que retrouvée une fois le volcan calmé.
Il pleut à verse mais il faut bien repartir. On longe le champ de lave jusqu’au fort : en fait une mini ruine qui ne vaut pas le détour… C’est assez dingue de s’imaginer que quelques milliers de personnes vivent ici toute l’année ! De retour près du port, on trouve enfin un macareux (oiseau fétiche du coin) pour réconforter Jen qui les guettait sans succès.
Après le ferry retour + une heure de route sous la pluie et dans la nuit (sans éclairage), nous sommes enfin arrivés à Vik dans une sorte d'auberge de jeunesse où les quarantenaires sont acceptés heureusement !
A demain pour la suite :)
😊🥰🌈🌈
RépondreSupprimerWinter is coming les papz. Watch out for the white walkers.
RépondreSupprimerEncore encore ! Prépare nous un vlog pour le retour
RépondreSupprimerAu top même sous la pluie!
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